A toi, ma marraine
Que pourrais-je dire de toi ?
Car beaucoup de souvenirs gravés en moi.
Tu viens à peine de nous quitter,
Et déjà je suis effondrée.
Tu t’es toujours comportée en guerrière,
Mais sans laisser personne derrière.
Tu as toujours combattu,
Même ton dernier combat, tu as tenu.
Je vais te rappeler des petites anecdotes
Qui ont été bien rigolotes.
Je me rappelle de certaines réunions
Ou généreusement comme à ton habitude,
tu préparais un café sûrement bon,
Mais tu as oublié de nous le faire couler
Ou alors même de mettre dedans le café.
Souvent, nous partions à la recherche de tes clefs
Qui s’échappaient et dans le frigo, tu les retrouvais.
Mais tout ça va me manquer
Mais ce qui est sûr
Et qui est le plus dur
Ce ne sont plus que des souvenirs, et que tu n’es plus là
Pour me prendre dans tes bras.
Mais comme disait un chanteur
Et qui me tient à cœur :
Chère marraine je t’aime, je t’aimais et je t’aimerai.
Nadège